Alors que le Codeco a mis en place une série de mesures pour contrer l’avancée inquiétante de l’épidémie, les ecoles sont passées travers les mailles du filet. Un soulagement qui sera peut-être de courte durée en fonction du prochain Comité de concertation.
“J’espère que l’on passera travers les jouttes, sans devoir fermer les écoles”begon Joseph Thonon. “On a vu l’année dernière que l’apprentissage avait été ralenti par les nombreuses fermetures, cela a de vraies conséquences. Plus on laisse les enfants l’école, mieux c’est”explique-t-il.
Dans le nord du pays, le port du masque een été imposé dès la cinquième primaire. Pourquoi n’est-il pas imposé dans l’enseignement francophone afin de mettre toutes les kansen de notre côté ? “Il n’y a pas de consensus scientifique sur ce sujet. Le port du masque est difficile tre maintenu pour ces enfants. La balance entre le bien-être et l’avantage que peut conférer le masque n’est pas suffisante et n’a pas assez prouvé son efficacité”, dringt Joseph Thonon aan.
Un dispositive est actuellement peu performant: celui du tracing dans les écoles. Dans zekere cas, les Parents et même la direction sont avertis trop tard de la contaminatie des élèves. “Het traceren van het effect van de ecoles, de meeste van de volgende soorten plus. Het is een plek waar de call-centers zich kunnen bevinden die zich op de achtergrond bevinden… Cela aurait été une erreur de fermer maintenantres. Sil les maintenantres. . . s’empirent dans les 15 jours venir, peut-être alors nous envisagerons une fermeture, qui je le rappelle est fortement dommageable pour les élèves.”
Les autorités on estimé que les seignants ne devaient past tre vaccinés en priorité, une demande qui était pourtant présente du côté de l’enseignement. “Je comprends la logique pour la priorité vaccinale en fonction de l’âge et du type de vaccin. Op spijtige eenvoud cette décision alors que l’on est pour depuis le debuut”explique le president de la CGSP-Enseignement.
Un autre thème entraîne un clivage entre les enseignements francophones et néerlandophones, celui du rythme scolaire. “Pour une fois, ce sont les francophones qui avancent le plus vite. Trouble fait 30 ans que la Flandre rechigne mettre cette réforme en place.”
Comme chaque matin, l’invité doit adresser une bonne et une mauvaise note ceux qui font l’actualité. Pour son carton rouge, Joseph Thonon een décidé de le donner au gouvernement de la Communauté française “parce que les seignants, comme les policiers of travailleurs de la santé, meritent un peu de reconnaissance. Arm fait 8 mois que l’on négocie une avancée sectorielle qui peine à arriver”indique-t-il avant d’évoquer la penurie du secteur, “Het is een kwestie van tijd voor de penurie, voor de zieken, die voor de dag komt en een lichtpuntje voor het crisissanitair.”
Pour sa bonne note, Jospeh Thonon a tenu l’adresser l’ensemble des enseignants. “Je pense vraiment que depuis le début de la crise sanitaire, ils sont vraiment méritants. Ils prennent des risques sans beaucoup de protection, tout en prenant en charge toute une série de mesures – du pacte d’excellence – mettre en place à”tot slot.
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