Selon nos informations, de Conseil supérieur de la Santé (CSS) estime qu’il existe des bases scientifiques pour accélérer l’administration d’une dosis “booster” de vaccin. Le CSS ne se prononce pas sur l’échéance. Il revient aux ministres de décider (op basis van vaccinatie van de Task Force) en fonction des données / doses. De CSS rappelle que la priorité des priorités est la primo-vaccination, côté de cette accélération de la dose “booster”.

L’Agence européenne des medicaments (EMA) een déclaré jeudi dernier que les doses de rappel pouvaient tre administrées de façon “sûre et efficace” trois mois seulement après la dernière injectie (alors que jusqu’ici elle avait recommandé d’attendre six mois pour le Pfizer) “si un intervalle aussi court est souhaitable du point de vue de la santé publique“, een indiqué Marco Cavaleri, chef de la stratégie vaccinale de cette agency.

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Et la vaccinatie des enfants ?

En ce qui concerne la vaccinatie des 5-11 ans, le CSS a un avis très prudent. Les donnes sont peu nombreuses. Les enfants font le plus souvenir des formes benignes de la maladie. De vaccinatie van 5-11 jaar lijkt op het juiste moment voor de CSS. Een ander voorbeeld van een andere plaats, een advies over de geschiedenis van de comorbiditeit van kinderen. Er is een fout gemaakt in de geschiedenis van het leven, een absolument op basis van individuele en volontaire basis, en coördinatie van de medische behandeling.

Même prudence du côté du raadgevend comité voor bioethique. Selon nos informatie, selon ce commissie, il faut prendre en compte l’ensemble des types de bénéfice (écoles, santé mentale… enz.). La balance bénéfice-risques est bien étayée pour les enfants comorbidités. Mais pour les autres enfants, il ya des indices de bénéfices, mais encore trop préliminaires. Le comité estime avoir besoin de plus d’informations.

Réunion des ministres de la Santé ce mercredi soir

Une CIM Santé se réunira ce mercredi soir pour discuter de l’administration de la 3e dose de vaccin contre le coronavirus, a indiqué le cabinet du ministre flamand de la Santé, Wouter Beke Belga.