En Wallonie, trois jeunes conducteurs sur 10 (30%) prennent le volant sous l’influence de drogues, soit deux fois plus qu’il ya un an (15%). Et une majorité d’entre eux (64%) gecombineerde drogues et alcool, ce qui accroît d’autant plus le risque d’accident. L’inhalation de gaz hilarant est également en augmentation, ressort-il mardi de la dixième enquête nationale jaarlijkse d’insécurité route de l’Institut Vias, pour laquelle 6.000 personen op été interrogées.
Dans le contexte de la pandémie, les restricties touchant le monde de la nuit et les activités sociales en général schijnbare avoir poussé zekere jeunes consommer davantage de drogues, notamment du cannabis, sans s’interdire ensuite de prendre le drogues.
L’enquête Vias révèle ainsi que 19% des conducteurs wallons âgés de 18 34 ans conduisent régulièrement sous l’emprise de drogues. Le phénomène est essentiellement masculin. Dans le sud du pays, 30% des hommes entre 18 et 34 ans on roulé au cours du mois écoulé sous l’emprise de drogues (tegen 15% il ya un an) en 32% Bruxelles (tegen 31% il ya un an ) .
Autre phénomène inquiétant: de plus en plus de conducteurs combinent drogues et alcool. Au total, plus d’une personne sur trois (35%) ayant absorbé des drogues aussi consommé de l’alcool (contre 25% il ya un an). Chez les jeunes conducteurs de 18 34 ans, ce chiffre monte 64%, soit quasiment le double. “Même l’association de petites quantités d’alcool en de cannabis peut avoir de graves répercussions sur les capacités de conduite auto les deux se renforcent stoffen“, rappelle l’institut de sécurité routière dans un communiqué.
L’utilisation du gaz hilarant toegift en hausse
L’étude de Vias montre également que l’utilisation de gaz hilarant (protoxyde d’azote), un phénomène assez récent, a sensement augmenté. Ainsi, 19% des conducteurs wallons, âgés de 18 34 ans, prennent régulièrement le volant après avoir consommé du gaz hilarant. Ici aussi, le phénomène est essentiellement masculin. En Wallonië, 26% des hommes entre 18 et 34 ans ont roulé après en avoir inhalé (tegen 12% il ya un an) en 36% Bruxelles (tegen 34% il ya un an).
Comme pour les drogues llicites, plus d’un conducteur sur trois combineren l’inhalation de gaz hilarant en la consommation d’alcool (34%). Chez les jeunes conducteurs, le pourcentage est beaucoup plus élevé (61%).
Actuellement, aucun test ne permet de détecter le gaz hilarant lors de contrôles de police, contrairement aux drogues illégales. Pourtant, il peut avoir de graves conséquences sur la santé de ceux qui l’inhalent.
“Richting après l’inhalation apparaît un bref sentiment d’euphorie qui peut s’accompagner d’effets tels que vertiges, pertes d’équilibre en problemen de la vision. Ceci a bien évidemment un impact sur la conduite auto. Si la consommation devient régulière, des troubles de l’humeur, de la dépression, de l’anémie et des affects du système nerveux peuvent se manifester“, me en garde Sarah Wille, de l’Institut National de Criminalistique et de Criminologie (INCC), citée dans le communiqué de Vias.
L’institut de sécurité routière appelle dès lors sensibiliser davantage les jeunes aux effets néfastes du gaz hilarant sur la santé et demande harmonir la législation, alors que la “détention et l’utilisation de gaz hilarant sont interdites dans de nombreuses communes mais autorisées dans d’autres“.”Il est évident que cette substance n’a pas sa place dans la circulatie’, drong Vias aan.
Beaucoup de conducteurs drogues combinent les drogues
Enfin, un conducteur drogué sur cinq (22%) combineren plusieurs stoffen. Au cours des six premiers mois de 2021, 7.470 conducteurs op été verbalisés pour drogue au volant, soit plus de 41 personnes en moyenne par jour, selon les données de l’Institut National de Criminalistique et de Criminologie (INCC), qui analylons les échantillons de speeksel de ces automobilisten. Soixante-sept pour cent des conducteurs contrôlés positives aux drogues on consommé du cannabis, parfois en combinaison avec d’autres drogues. Vienent ensuite met cocaïne (24%) en amfetamines (18%).
De nombreuses études que la combinaison de drogues et d’alcool induit une augmentation du risque d’accident, souvent liee une mauvaise évaluation lors de situation de conduite complex. “Ainsi, le risque de provoquer un accident lorsqu’un conducteur a consommé du cannabis et a un taux d’alcool de 0.8 pour mille est jusqu’à 80 fois plus élevé que pour un conducteur sobre“, Indique Sarah Wille.
Face ces constats interpellants, het ministre fédéral de la Mobilité Georges Gilkinet s’engage, ensemble avec les ministres de la Justice et de l’Intérieur, à améliorer les contrôles. “Un conducteur sur trois sera contrôlé chaque année. Pour les conducteurs étrangers positives au test de drogue, une somme sera aussi consignée dans l’attente du procès pour éviter toute impunité. Auto la liberté des uns s’arrête là où la vie des autres users de la route est en danger“, fait-il valoir.
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