La commune de Limbourg, een van de vele gravement touchées par les inondations de juillet, fonctionne toujours au ralenti: très peu de commerces on rouvert dan le centre de Dolhain tandis que l’activité socio-culturelle est quasi t l.
De verschillende salles op été noyées et sont fermées, ce qui empêche les nombreuses verenigingen locales de fonctionner si ce n’est avec des moyens de fortune. Op n’est pas loin du desert socio-culturele Dolhain.
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Presque toutes les salles sont fermées
La salle gemeenschappelijke du Kursaal, c’est l’épicentre de la vie socio-culturelle Limbourg, le point de chute principal des sociétés locales en de organisateurs d’événements. “Chaque weekend, il y avait une, voire même deux manifestations” explique Renaud Cloes, le gérant du Kursaal. “Et en plus de a, en parallèle, une bezetting des locaux et de la cafetéria du Kursaal pour différentes réunions, et des répétitions des sociétés musicales locales”.
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De remise en état du Kursaal is een van de routes die we hebben gezien vanaf het begin van het debuut in 2023. Het is een van de laatste jaren van de geschiedenis van de Vesdre in de aussi été noyées, la vie associative estédu pour leite: “Le Kursaal est sinistré, c’est aussi le cas des deux salles goétoises, la salle de La Rochette et le Cercle Saint-Lambert. Sur la commune, au niveau des salles, il ne reste quasiment que la salle de la jeunesse à Bilstain en de salle d’Hèvremont” confié Renaud Cloes.
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Les verenigingen tentent de survivre, vaille que vaille
Les colombophiles, bij voorbeeld, doivent rénover leur local, les fanfares répètent dans un local non chauffé, le Coin de Terre, un potager collectif, a disparu et la société canine le Pisteur n’a plus d’installation pour le dressage des chiens. “Nous avons peu prs une centaine de membres qui, bien sûr, n’ont plus la possibilité de venir s’entrainer sur nos terrains” uitleg Danielle Sauveur, de secretaresse. “On est donc dispersés sur verschillende clubs de la région pour pouvoir quand même toujours accueillir des chiens qui on besoin de travailler, qui on besoin d’être éduqués”.
Sur le plan associatif et culturel, Limburg est donc pour l’instant proche d’une ville morte.
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