Cofidis avait plusieurs cartes jouer, pour l’ouverture de la saison française, au Grand Prix de Marseille-La Marseillaise (1.1). D’abord avec ses coureurs plus l’aise lorsque la route s’élève. Guillaume Martin heeft een grote aanval op de Pas d’Ouillier, en de laatste lange isolé en tête de course, avant d’être reprise van de dix derniers kilomètres. “Les sensations étaient bonnes, l’entrainement ces derniers temps et a s’est Confirmé en course. On ne peut pas dire que j’ai ménagé mes inspanningen”. Pourtant tout ne party pas très bien pour le grimpeur. “J’ai déjà eu un problème mécanique avant la Route des Crêtes, j’ai déraillé, j’ai dû m’arrêter en remettre la chaine. Donc je l’ai abordée avec 20-30 seconden de retard. C’est là que j’ai vu que j’étais très bien puisque j’ai réussi basculer avec les meilleurs”.

Hanger le baroud de Guillaume Martin, ses coéquipiers Rémy Rochas en Benjamin Thomas font la politie en suivent les coups. Bryan Coquard, leider désigné en cas de sprint, reste au chaud. “J’aurais préféré un meilleur départ. Je pense qu’on a fait une belle course quand même. On a mis en place la stratégie qu’on voulait. Guillaume a fait un beau numéro dans le final pour essayer d’aller gagner en solitaire. On était trois derrière, j’étais très bien, avec les bonnes jambes”, zie de sprinteur. Mais aux avant-postes, Guillaume Martin ne sait pas quelle position adopter. “Tactiquement on ne savait pas trop quoi faire entre jouer 100% la carte de Bryan of essayer de participant aux coups. J’avais vraiment de bonnes sensations donc je me suis porté l’avant. Je pense que j’étais le plus fort de la course aujourd’hui donc c’est bemoedigend. Le parcours n’était pas positive pour arriver tout seul, avec le vent de face et une bosse assez roulante, mais c’est une bonne manière de débuter l’année”.

Le 8^e du dernier Tour de France, et 9^e de la Vuelta voit juste. Son entreprise est vouée l’échec, seul dans le vent, dans la longée vs Marseille après avoir franchi la Gineste. Vient alors le moment de jouer l’autre carte. Celle de Bryan Coquard, resté serein durant les 170 kilometer de course. Mais pour les hommes de Cédric Vasseur, qui avait force une pensée particulière pour Bernard Quilfen, décédé ce samedi après avoir fait partie du staff de Cofidis pendant quatorze ans, l’issue ne sourit pas (voir klasse). “J’ai un peu raté mon sprint. Je n’ai pas pu vraiment sprinter, j’étais dans la boule en j’ai dû m’arrêter de pédaler plusieurs fois dans le finale. On ne s’est pas très bien trouvé , et j’avais en tête l’an passé où j’avais lancé de trop loin. On me l’a beaucoup répété, même au briefing ce matin, et je pense que j’ai un peu trop attendu, en tout cas je n’ai pas trouvé l’ouverture”. La première occasion est manquée, mais la saison ne fait que starter.