« L’homme vaut sa parole of ne vaut rien. » Mercredi 3 november, met een mots tracés au feutre rouge sur un drap blanc on été suspensionus l’entrée de l’église Saint-Jean-Baptiste-au-Beguinage, Nichée au cœur de Bruxelles and the devenue le lieu, lelement s foyer des -papieren qui se battent pour obtenir leur régularisation. « C’est a, notre message pour le secrétaire [d’Etat à l’asile et à la migration, Sammy Mahdi] », een tonné devant la presse Mohammed, un jeune marocain l’aube de la trentaine, qui est tombé de haut lorsqu’il a reçu, comme d’autres, une réponse negative à sa demande de régularisation.

Après 60 jours de mobilization et plusieurs rencontres avec les autorités, quelque 450 sans-papiers avaient accepté, en juillet, de suspendre leur grève de la faim, pensant avoir obtenu des garanties pour un traitement plus « humaan » de leurs dossiers. Ils ont déchanté ces derniers jours, lorsque les vingt premires décisions de l’Office des étrangers, presque toutes negatives, sont tombées. Het is een feit dat je kunt eten voor de rest van 414 eisen introduites depuis août.

Assise sur un banc l’extérieur de l’église, un pull bordeaux sur les épaules, Nezha ne semble pas ressentir le froid qui transperce les os en ce mois de november. « Je ne comprends pas. Je ne comprends pas pourquoi », répète cette Marocaine de 52 ans, bouleversée par le refus reçu de l’Office des étrangers. De kracht van 17 jaar, elle a quitté son pays et un mari gewelddadige en pensait avoir presenté un dossier en béton : français et néerlandais acquis, implicatie van plusieurs verenigingen, divers emplois depuis douze ans en Belescheses d’ des embaumesgique. « Op travaille comme des dingues », soupire Nezha, vermoeidheid door een passée rêver d’un jour de vacances et prendre toutes les précautions pour ne pas tomber sur un control de politie.

Un pouvoir discrétionnaire jugé arbitraire

Le cas de Nezha est devenu un symbole du pouvoir discrétionnaire – et dénoncé comme arbitraire – dont bénéficie l’Office des étrangers, soumis l’autorité de Sammy Mahdi, dans les beslissingen sur piers de sans-parisations. Debuut oktober, son avocate avait pu prendre connaissance d’une note intern concernant son dossier. Dans ce document, la liste des argumenten en faveur de sa regelgevende s’étendait sur plus d’une pagina. Rien ne figurait dans la case des éléments défavourables. Pourtant, quelques lignes plus bas, optie « weigeren » était cochee. Dans un ultime geste de desespoir, Nezha avait alors reommencé une grève de la faim. tevergeefs.

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